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Leçon principale
- Une politique budgétaire restrictive peut conduire à une « concentration » et à une augmentation des investissements privés sur les marchés du crédit.
- La réduction des dépenses publiques réduit la pression sur les taux d’intérêt, permettant ainsi aux particuliers et aux entreprises d’emprunter plus facilement.
- La réduction de la dette publique pourrait libérer des capitaux pour les investissements privés, ce qui pourrait stimuler l’activité économique.
- L’entassement et l’éviction sont des effets opposés ; Une participation massive peut renforcer la capacité d’emprunt du secteur privé.
Les politiques de contraction réduisent directement les déficits publics ou augmentent les excédents. Selon les modèles d’équilibre général de la macroéconomie moderne, une politique budgétaire expansionniste peut provoquer un évincement de l’activité privée sur les marchés du crédit.
L’argument va également dans l’autre sens : une politique de contraction pourrait permettre une activité privée accrue sur les marchés du crédit. Ce phénomène est parfois qualifié dans la littérature de « surpeuplement ».
Qu’est-ce qu’une politique budgétaire restrictive ?
La politique budgétaire fait référence aux habitudes de dépenses et de fiscalité d’un gouvernement. Il existe deux types d’orientation de politique budgétaire : restrictive et expansionniste. Considérez la politique de contraction comme tout ce qui réduit directement le déficit public ou augmente l’excédent. Les politiques expansionnistes impliquent des activités qui augmentent directement le déficit ou réduisent l’excédent.
Après l’augmentation des impôts, le bilan du gouvernement a affiché davantage de recettes. De même, la réduction des dépenses a un effet de contraction car elle réduit les dépenses. Selon la mesure standard du produit intérieur brut (PIB), une politique budgétaire stricte semble réduire la production totale. Les impôts tendent à réduire la consommation personnelle, tout comme les réductions de dépenses tendent à réduire la consommation publique.
Comprendre la dynamique de la domination et de la domination dans
Supposons que le gouvernement fédéral augmente ses dépenses fiscales de 100 milliards de dollars au cours d’une année donnée. Si les impôts sont politiquement impopulaires, les gouvernements financent souvent des dépenses supplémentaires par le biais d’emprunts. Le gouvernement fédéral emprunte de l’argent en émettant des bons du Trésor américain. Dans ce cas, le gouvernement émet pour 100 milliards de dollars de bons du Trésor. Cela a directement détourné 100 milliards de dollars des marchés du crédit, argent qui aurait pu être dépensé pour d’autres investissements ou biens de consommation. Les problèmes publics se manifestent en évinçant les problèmes privés sous-jacents.
En outre, l’afflux de titres de créance publics affecte les taux d’intérêt et les prix des actifs. Si les particuliers sont encouragés à accroître leur épargne pour acheter des titres de créance publics, les taux d’intérêt réels ont tendance à augmenter. À mesure que les taux d’intérêt réels augmentent, il devient plus difficile pour les particuliers et les petites entreprises d’emprunter de l’argent.
De la même manière, la réduction des emprunts publics peut laisser plus d’argent pour l’investissement privé. Moins de pression sur les taux d’intérêt signifie plus de marge de manœuvre pour les petits emprunteurs. À long terme, moins de dépenses publiques signifie généralement moins d’impôts, augmentant ainsi le capital disponible pour le marché privé.
Si la politique budgétaire restrictive d’un gouvernement aboutit à un excédent, le gouvernement peut agir comme un créancier plutôt que comme un débiteur. L’impact de cette situation est plus incertain que celui d’un déficit budgétaire, mais tous les économistes s’accordent à dire qu’il aura un certain impact.
Types d’effets de foule dans la politique budgétaire
Certains économistes soutiennent que, dans de bonnes circonstances, les politiques gouvernementales expansionnistes peuvent être plus attrayantes que restrictives. Si, comme le suggèrent les économistes keynésiens, une augmentation de la demande globale crée une expansion économique, alors les entreprises trouveront bénéfique l’augmentation de la capacité. Cette stimulation du marché, connue sous le nom d’investissement de relance, peut être plus forte que l’effet d’éviction.
Il s’agit d’un argument très différent de l’effet de foule traditionnel, qui résulte d’une politique budgétaire restrictive. Chaque argument a ses partisans et ses critiques. Pour rendre les choses encore plus compliquées, certains économistes admettent un effet d’entassement mais ne sont pas d’accord sur son ampleur et son impact à long terme.
Conclusion
Une politique budgétaire restrictive peut conduire à une augmentation des investissements privés en réduisant les dépenses et les emprunts publics. En réduisant l’activité du gouvernement sur les marchés du crédit, les taux d’intérêt pourraient baisser, rendant l’emprunt plus accessible aux particuliers et aux entreprises.
L’effet d’attraction suggère qu’une moindre implication du gouvernement peut créer des opportunités de croissance pour le secteur privé. Bien que les effets d’éviction et d’éviction soient débattus, comprendre leur importance aidera à évaluer les stratégies de politique budgétaire.
